Cette année, Nikla, bénévole de DPC, a invité, chez elle, les familles et les frères et sœurs des camarades de classe de ses filles à un événement « Pasta for Parkinson », avant que les petits fantômes, vampires et sorcières ne partent à la chasse aux bonbons dans le quartier.   

25 bols de pâtes vendus à 5 euros le bol, moins les dépenses = 86,62 euros collectés pour la recherche sur la maladie de Parkinson, pas de goules ou de monstres affamés et un grand bonheur à l’occasion d’Halloween.

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Chaque année, notre quartier organise une fête d’Halloween qui est devenue un moment incontournable de notre calendrier familial… Elle est également très attendue par les camarades de classe de nos trois filles !

Les maisons sont incroyablement bien décorées et pendant deux heures, les enfants peuvent visiter une vingtaine de maisons … s’ils osent … pour récolter des bonbons.

Avant le tour des maisons, pour augmenter la durée du plaisir, nous organisons toujours une réunion chez nous, afin que les enfants puissent admirer les costumes et les maquillages des autres mais aussi afin de manger quelque chose de consistant et sain (plutôt que du sucre ! !).  Cette année, nous avons décidé d’ajouter des pâtes au menu et de les vendre pour soutenir la recherche sur la maladie de Parkinson. Il est important de noter que j’ai précisé dans l’invitation que les pâtes seraient en option, au prix de 5 euros par bol. Tout le monde a réagi positivement.

J’ai décidé de préparer une sauce tomate végétarienne, une sauce bolognaise et une sauce carbonara et j’ai passé la journée de l’événement à faire les courses, à cuisiner et à mettre les choses en place. Par rapport aux autres années, cela ne représentait pas une surcharge de travail surtout que ma belle-mère et une amie m’ont aidée à servir les pâtes, ce qui a rendu amusant le fait d’être dans la cuisine.

Nous avons vendu 25 bols de pâtes ce soir-là (la sauce carbonara était la plus populaire), ce qui, après déduction du coût des ingrédients, a rapporté 86,62 euros en faveur de la recherche sur la maladie de Parkinson.

Bien sûr, cette somme ne suffira pas à trouver un remède à cette terrible maladie, mais chaque petit geste compte et toutes les familles qui sont venues à notre événement en savent désormais plus sur l’impact de cette affection neurodégénérative.

 

 

Je ne manquerai pas de renouveler l’opération « Pasta for Parkinson » l’année prochaine et j’espère que d’autres personnes envisageront de faire la même chose. Le concept est tellement simple et peut être réalisé à petite échelle comme je l’ai fait, ou organisé dans une école, par un groupe de scouts ou par une entreprise. Peut-être pourriez-vous parler à l’équipe de restauration de votre organisation pour voir si elle serait prête à accueillir un événement « Pasta for Parkinson » ? Je serais heureuse de réfléchir avec toute personne intéressée et de vous soutenir dans votre planification.