Yves Ovelacq, 55 ans, est un consultant spécialisé dans les domaines des transformations numériques et de la gestion du changement et est un photographe amateur passionné. Il a décidé d’exposer et de vendre certaines de ses photos préférées au profit de la Demoucelle Parkinson Charity. Il nous parle (ci-dessous) de son amour de la photographie et de ce qui l’a motivé à soutenir la recherche sur la maladie de Parkinson.
L’exposition intitulée « Femmes et Smartphones sur trois continents » est ouverte à tous ceux qui souhaitent y assister. Il suffit de répondre à l’invitation avant le 6 décembre.
“Women and Smartphones on three continents” exposition photo
Le vendredi 9 décembre de 18h00u à 21h00 et le samedi 10 décembre de 16h00 à 21h00
Endroit: Belle Barrus – Meeting & Event Room – Brusselstraat 125, 1702 Groot-Bijgaarden
Parking gratuit sur place (140 places disponibles).
R.S.V.P. Appelez-nous ou envoyez-nous un mail/whatsapp le 6 décembre 2022 au plus tard avec votre réponse à yves@addingvalue.be ou via +32479/985.771
O Je viens le … décembre 2022 avec … personnes
O Nous aurons faim pour des tapas oui/non
N’hésitez pas à transmettre cette invitation à d’autres personnes intéressées.
Pouvez-vous nous parler un peu de vous, de votre famille et de vos centres d’intérêt ?
Oui, j’ai une femme formidable et trois filles merveilleuses qui me soutiennent également dans ce projet (d’exposition de photographies). Mes intérêts sont très variés : la photographie, la cuisine (et l’alimentation) saine, la philosophie et les religions, l’écriture et la lecture.
Comment avez-vous découvert la photographie ?
Par ma famille. Mon arrière-grand-père a pris des photos entre 1851 et 1918. J’ai récemment numérisé ses photographies sur plaque de verre. Mon père a également photographié et développé des photos en noir et blanc et en couleur. Je me souviens avoir passé du temps dans la chambre noire avec lui et des photos qui apparaissaient lentement dans les boîtes avec les produits de développement. À cette époque, j’étais plus l’assistant que le photographe. Aujourd’hui, mon appareil photo ressemble plus au smartphone des femmes (le sujet de son exposition photo). Je le laisse rarement à la maison.
Quand considérez-vous que quelque chose est une « bonne photo » ? Quand êtes-vous satisfait de vos propres photos ?
Bien sûr, il faut avoir la bonne quantité de lumière, la bonne composition, la bonne netteté, etc. Mais en plus de cela, il y a le design ou l’aspect esthétique et l’histoire que les photos racontent. Enfin, le plus important, ce sont les spectateurs. Est-ce qu’ils aiment ou pas ?
Pourquoi avez-vous décidé d’organiser une exposition de photos pour soutenir la recherche sur la maladie de Parkinson ?
J’ai été très touché par la famille Demoucelle et son expérience de la maladie de Parkinson. J’ai donc pensé qu’organiser une exposition (qui figurait sur ma liste depuis un certain temps) afin de récolter des fonds pour la Demoucelle Parkinson Charity serait une bonne idée. De plus, cette association est très professionnelle et transparente.
Qu’espérez-vous accomplir avec cette initiative ?
J’espère que nous atteindrons notre objectif (bien que nous n’ayons pas fixé d’objectif financier), à savoir collecter des fonds pour accélérer la recherche et offrir aux malades de Parkinson une vie meilleure. Je pense que chacun d’entre nous devrait être reconnaissant chaque matin, lorsque nous nous réveillons, de pouvoir profiter d’une journée sans une maladie telle que la maladie de Parkinson.
Qu’est-ce qui rend cette initiative « spéciale » pour vous ?
Les personnes uniques — Patrick et Anne-Marie Demoucelle — dont l’attitude positive est exceptionnellement inspirante ; et la possibilité de combiner l’une de mes passions avec une cause caritative.
Quelle devise essayez-vous de suivre ?
« Ne jamais attendre ». La vie est courte et l’attente est l’un des 7 gaspillages des principes « lean ». Dire « je ferai ceci ou cela plus tard ou quand je serai à la retraite » est une hypothèse dangereuse.